Je voudrais mourir, mais non pas
D’une autre et plus tranquille mort
Que celle que causent ton pas,
Ta voix, ton regard, ton abord.
Pourrai-je renoncer, crois-tu,
– Bel arbre humain, cyprès! tilleul !
À ce grand besoin éperdu
Que j’ai de périr par toi seul ?
Poème de l’amour
Poèmes de Anna de Brancovan, comtesse de Noailles