Peut-être faut-il accepter,
Dans la détresse de l’amour,
Ces grandes douleurs sans contours
Pareilles à la sainteté.
– Je ne veux pas que l’on retire
À mon coeur, sans autre habitude
Désormais que ce doux martyre,
L’affligeante béatitude !
Poème de l’amour
Poèmes de Anna de Brancovan, comtesse de Noailles