Bien peu de coeurs sont désirants,
Un tiède destin les rassure,
Ils goûtent les faibles mesures,
Les jours égaux, prévus et francs,
L’avenir calme et sans ardeur.
– Il faut plaindre les donateurs !
Poème de l’amour
Poèmes de Anna de Brancovan, comtesse de Noailles