Tu es comme tu pouvais être,
Toi qui n’as pas su ma bonté !
– Apaisante Fatalité,
Dès que l’on sait te reconnaître
On contemple ces yeux, ces mains
Qui nous nuisent ou nous enchantent,
Comme on entend, la nuit, que chante
Un rossignol sur le chemin !…
Poème de l’amour
Poèmes de Anna de Brancovan, comtesse de Noailles